Ma pile à lire du mois de mai 2022

Pas de jour férié ce mois-ci (enfin si, un seul…), c’est naze ! Mais ça ne va pas m’empêcher de dévorer plein de livres ! J’ai choisi de varier les genres ce mois-ci, entre thriller, contemporain et historique ! Il y a même un petit essai dans le lot ! Voici les livres que j’aimerais lire au mois de mai !

Petits meurtres à l’heure du thé, tome 1 : Briseurs de coeur, d’Helen Cox – 368 pages, Éditions Presses de la Cité
Une nouvelle série de cosy mystery dont l’héroïne est une libraire : je ne peux que vouloir le lire ! Et le petit chat noir sur la couverture m’a fait craquer !
Résumé : Kitt est bibliothécaire à York. Fan de romans policiers, elle aime aussi beaucoup le Lady Grey, son chat Iago et sa meilleure amie Evie, une masseuse aux doigts de fée fan de vintage. Côté coeur, en revanche, c’est plutôt morne plaine.
Une vie paisible, donc, jusqu’à ce que l’on retrouve l’ex d’Evie assassiné, un stylo plume planté dans le coeur. Si tout indique que son amie est la coupable, Kitt ne doute pourtant pas de son innocence. Épaulée par son assistante aux dons de cyberfouineuse, notre bibliothécaire au caractère bien trempé décide de mener l’enquête. C’est sans compter sur le charme électrisant de l’inspecteur chargé de l’affaire, qui ne l’aide pas à garder la tête froide…

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→ Le syndrome du canal carpien, de John Boyne – 480 pages, Editions JC Lattès
Impossible de passer à côté d’un nouveau roman adulte de John Boyne !
Résumé : Quelle invention merveilleuse que le téléphone portable :188 grammes de métal, de verre et de plastique enveloppés dans un écrin brillant aux lignes pures, à la fois porte ouverte sur d’autres mondes et arme perfide entre les mains des imprudents.
Les Cleverley sont britanniques, célèbres et riches. Ils n’ont aucune conscience de la fragilité de leurs privilèges, alors qu’ils ne sont qu’à un tweet du désastre. George, le père, est un animateur de télévision, – un trésor national (selon sa propre expression) –, sa femme Beverley, une romancière reconnue (pas autant qu’elle ne le souhaiterait), et les enfants, Nelson, Elizabeth et Achille, frôlent tous d’inéluctables catastrophes. Ensemble, ils découvrent les affres de la vie moderne, où les réputations sont détruites en un clin d’œil, et ils apprennent combien le monde se révèle impitoyable lorsque l’on s’écarte du chemin tout tracé.

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→ Réinventer l’amour, de Mona Chollet – 272 pages, Editions Zones
Sans le club de lectures féministes de Carnet Parisien, je n’aurais jamais lu cet essai qui ne me tente pas du tout. Mais c’est Mona Chollet, je lui laisse sa chance car j’avais adoré Sorcières (cliquez ici pour lire mon avis) !
Résumé : Nombre de femmes et d’hommes qui cherchent l’épanouissement amoureux ensemble se retrouvent très démunis face au troisième protagoniste qui s’invite dans leur salon ou dans leur lit : le patriarcat. Sur une question qui hante les féministes depuis des décennies et qui revient aujourd’hui au premier plan de leurs préoccupations, celle de l’amour hétérosexuel, ce livre propose une série d’éclairages.
Au coeur de nos comédies romantiques, de nos représentations du couple idéal, est souvent encodée une forme d’infériorité féminine, suggérant que les femmes devraient choisir entre la pleine expression d’elles-mêmes et le bonheur amoureux. Le conditionnement social subi par chacun, qui persuade les hommes que tout leur est dû, tout en valorisant chez les femmes l’abnégation et le dévouement, et en minant leur confiance en elles, produit des déséquilibres de pouvoir qui peuvent culminer en violences physiques et psychologiques. Même l’attitude que chacun est poussé à adopter à l’égard de l’amour, les femmes apprenant à le (sur ?) valoriser et les hommes à lui refuser une place centrale dans leur vie, prépare des relations qui ne peuvent qu’être malheureuses. Sur le plan sexuel, enfin, les fantasmes masculins continuent de saturer l’espace du désir : comment les femmes peuvent-elles retrouver un regard et une voix ?

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→ La vie tumultueuse de Mary W, de Samantha Silva – 377 pages, Editions Presses de la Cité
Sincèrement, qui saurait résister à ce résumé ? Un roman sur la vie de la mère de Mary Shelley, je ne peux qu’avoir envie de le lire !
Résumé : Août 1797. Mary Wollstonecraft donne naissance à sa deuxième fille. Malgré la sérénité de la jeune mère, sa sage-femme est inquiète. Elle se surprend à s’attacher à cette personnalité hors du commun et, quand l’état de Mary se dégrade, elle lui conseille de se raconter à son enfant.
Mary se lance alors dans un récit aussi ardent que vivant – l’histoire d’une vraie combattante, d’une aventurière et d’une amante. L’histoire de Mary Wollstonecraft, pionnière du féminisme et mère de Mary Shelley, l’auteure de Frankenstein. Une femme méconnue, à mettre en lumière de toute urgence…

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→ Vivantes, de Marie-Haude Mériguet – 334 pages, Auto-édité
J’avais beaucoup apprécié le premier roman auto-édité de l’autrice (cliquez ici pour lire ma chronique), j’ai donc immédiatement apprécié sa proposition de lecture de son nouveau bébé !
Résumé : En 1996, Nicolette est envoyée en Italie pour s’occuper des deux garçons d’une famille franco-italienne. Pour l’étudiante avide de voyage et d’émancipation, cette immersion dans les paysages grandioses des Dolomites est le début de l’aventure. Là-bas, elle rencontre Faustine, une jeune fille aussi solaire que brillante, aussi belle que mystérieuse. Leur entente est évidente. Leur amitié, immédiate. Ensemble elles traversent un concentré de vie absolu, où la liberté s’impatiente, où les extrêmes se côtoient. Il reste pourtant cette part insaisissable, chez Faustine comme dans tout ce que cet été offre à Nicolette. Un secret après l’autre, Nicolette trouve les réponses qui vont changer le cours de sa vie. Sous le soleil brûlant de l’Italie des montagnes, ce roman raconte combien une rencontre, aussi courte soit-elle, a le pouvoir de nous changer. Il raconte comment l’amour nous fait devenir.

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→ Avec tes yeux, de Sire Cédric – 550 pages, Éditions Presses de la Cité
J’ai acheté ce roman, dédicacé, au Salon St Maur en poche en… juin 2016. Après six ans à patienter, il est temps de le découvrir, le temps d’une lecture commune organisée par Triple L de Mag !
Résumé : Thomas ne croit que ce qu’il voit, mais personne ne le croit. Depuis quelque temps, Thomas fait des rêves atroces. D’épouvantables rêves qui le réveillent en sursaut et morcellent son sommeil qu’il a déjà fragile. Si ce n’était que ça ! Après une séance d’hypnose destinée à régler ses problèmes d’insomnie, il est en proie à des visions. Il se voit, à travers les yeux d’un autre, torturant une jeune femme… Persuadé qu’un meurtre est effectivement en train de se produire, il part à la recherche de la victime. Le cauchemar de Thomas ne fait que commencer.

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→ Et que quelqu’un vous tende la main, de Carène Ponte – 288 pages, Éditions Fleuve
J’ai le bonheur de recevoir le nouveau roman de Carène Ponte de la part des éditions Fleuve dès la sortie : un petit bonbon qui se dégustera parfaitement au soleil !
Résumé : Le Jardin des Cybèles est une maison de repos qui accueille des personnes abîmées par la vie. Cet été-là, elle ouvre ses portes à deux nouvelles pensionnaires : Valérie et Anna.
Quelques jours après leur arrivée, elles font la connaissance de Charline, la propriétaire d’un petit salon de thé voisin. Ce lieu chaleureux devient un véritable refuge pour les deux femmes, qui adorent s’y retrouver pour déguster des gâteaux tout en bavardant.
Mais une nouvelle dramatique va chambouler l’existence de Charline et perturber ce fragile équilibre. Valérie et Anna décident alors de mettre leur propre souffrance de côté pour épauler leur amie dans cette terrible épreuve. Toutes trois embarquent pour une virée au bord de la mer. Le temps de ce séjour improvisé, elles comptent bien réapprendre à profiter de la vie !

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→ La petite couturière du Titanic, de Kate Alcott – 400 pages, Éditions de l’Archipel
Un roman qui tourne autour du naufrage du Titanic, drame qui m’a obsédé pendant mon adolescence ? Mais je fonce ! En plus en lecture commune avec les copines, ce sera doublement génial de le découvrir !
Résumé : Avril 1912. Tess Collins, une jeune servante anglaise, est venue à Cherbourg vivre de sa passion, la couture. Hélas, la maison qui l’emploie la traite comme une domestique. Lorsqu’elle apprend qu’un paquebot se dirigeant vers les Etats-Unis va faire escale à Cherbourg, elle décide d’embarquer pour tenter l’aventure. À bord du Titanic, elle fait connaissance de Lucy Duff Gordon, célébrité de la haute couture anglaise, qui s’apprête à présenter sa nouvelle collection à New York. Sa femme de chambre lui ayant fait faux bond, elle décide d’employer Tess. En première classe du navire, Tess découvre un monde fastueux. Elle fait la rencontre de deux hommes, Jim, un marin, et Jack, un self-made-man américain. Mais, tandis qu’un triangle amoureux s’installe, le paquebot, sans que ses occupants s’en doutent, fonce vers un iceberg… Réchappant à la catastrophe, Tess découvre que sa maîtresse a embarqué à bord d’un autre canot de sauvetage. Mais celle-ci a-t-elle survécu aux dépens d’autres passagers ? Elle se trouve bientôt face à un dilemme : rester fidèle à sa maîtresse ou dire ce qu’elle a découvert des circonstances du drame ?

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→ Les Rois Maudits, tome 2 : La Reine étranglée, de Maurice Druon – 256 pages, Éditions Le Livre de Poche
Il est temps d’avancer dans Les Rois Maudits, série en sept tomes que j’aimerais terminer cette année… Ce n’est pas gagné…!
Résumé : Faisant suite au Roi de ferLa Reine étranglée commence au lendemain même de la mort de Philippe le Bel. Un prince de faible caractère, Louis X le Hutin, dont l’épouse, Marguerite de Bourgogne, est emprisonnée pour adultère, succède à un monarque exceptionnel.
Tandis que la Chrétienté attend un pape et que le peuple meurt de faim, les rivalités, les intrigues, les complots vont déchirer la cour de France et conduire barons, prélats, banquiers, et le roi lui-même, au fond d’une impasse dont ils ne pourront sortir que par le crime.

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→ La couleur des sentiments, de Kathryn Stockett – 609 pages, Éditions Babel
Il est temps d’avancer dans mon baby challenge historique, qui va me permettre de sortir cette relique de ma PAL que je possède depuis 2013 ou 2014, et qui m’avait été offert par ma soeur à Noël… Oups…!
Résumé : Jackson, Mississippi, 1962. Dans quelques mois, Martin Luther King marchera sur Washington pour défendre les droits civiques. Mais dans le Sud, toutes les familles blanches ont encore une bonne noire, qui a le droit de s’occuper des enfants mais pas d’utiliser les toilettes de la maison. Quand deux domestiques, aidées par une journaliste, décident de raconter leur vie au service des Blancs dans un livre, elles ne se doutent pas que la petite histoire s’apprête à rejoindre la grande, et que leur vie ne sera plus jamais la même. 

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→ La Princesse blanche, de Philippa Gregory – 535 pages, Éditions Hugo
Ma biche Alix et moi continuons notre lecture de la série de Philippa Gregory sur les femmes Plantagenêt et Tudor, et enchainons ce mois-ci avec La Princesse Blanche !
Résumé : La Princesse Blanche clôture la saga historique de Philippa Gregory sur la Guerre des Deux-Roses. Ce conflit historique de premier ordre pour la succession du trône d’Angleterre se déroule entre 1455 et 1485, entre deux maisons : les Lancastre et les York. L’emblème de la maison de Lancastre était la rose rouge, tandis que celui des York était la rose blanche, ce qui donna son nom à cette guerre, mais aussi au roman de Philippa Gregory.
L’auteur raconte la fin de cette guerre et ses conséquences, à travers le regard de la princesse Elisabeth York (rose blanche) dont le mariage forcé avec Henri VII (victorieux contre Richard III, qu’elle aimait et aurait dû épouser), met fin à la guerre des Deux-Roses et la couronne reine. Son avenir ne sera pourtant pas radieux : ses deux frères Richard et Édouard, sont présumés morts. Elle doit faire face aux intrigues de cour. D’un côté, sa mère fomente des rébellions pour reconquérir le trône. De l’autre, la mère d’Henri prend toutes les décisions à la place de son fils. De plus, plusieurs révoltes menées par des imposteurs se prétendant prince d’York viennent troubler l’équilibre si précaire de la couronne.

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