Bilan cinéma – Juillet 2022

Le mois de juillet a été plus que fructueux en visionnages de films, pour mon plus grand plaisir ! Quel plaisir de dévorer et savourer des films, en salle ou en rattrapage ! Au total, j’ai regardé 16 films le mois dernier : voici le bilan !

SEANCES EN SALLE

→ Elvis, de Baz Luhrmann
Je ne pouvais pas passer à côté du nouveau film de Baz Luhrmann, réalisateur que j’adore. Et j’ai beaucoup aimé le film, qui est fidèle à la vie et à la carrière d’Elvis Presley. Créatif et brillant !
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→ Thor : Love and Thunder, de Taika Waititi
Aller voir un Marvel est synonyme, selon moi, de film popcorn à grand spectacle. Et j’en ai eu avec ce Thor, qui m’a bien divertie !
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SEANCES DE RATTRAPAGE

→ César et Rosalie, de Claude Sautet – Avec Yves Montand, Simone Signoret, Sami Frey – Sortie le 27 octobre 1972
Synopsis : L’histoire d’un trio amoureux et d’une amitié naissante. César aime Rosalie. César est à l’aise en société, plein d’entrain et dirige une société de ferrailleurs. Rosalie, restée très proche de sa famille, partage sa vie avec César. Et il y a aussi David, un artiste qui fut autrefois l’amant si cher au cœur de Rosalie. Les deux hommes, qui se disputent la même femme, finissent par devenir amis…
Mon avis : J’ai envie de rattraper mon retard sur les vieux films et de voir par moi-même pourquoi certains films sont cultes. Et je comprends pourquoi César et Rosalie l’est. Il fait se confronter deux catégories d’hommes, l’une virile, vieillissante et grande gueule, l’autre plus sensible et compréhensive. Au milieu, Romy Schneider qui a du mal à trouver sa place entre ces deux types, ces deux époques qui ont marqué un tournant dans les années 1970, qui ont remis en cause le modèle familial traditionnel. Le film n’a pas très bien vieilli, mais il était relativement intéressant, très humain et sensible. Même si on n’échappe pas à le relation toxique… J’ai bien aimé !

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→ Aline, de Valérie Lemercier – Avec Valérie Lemercier, Sylvain Marcel, Danielle Fichaud – Sortie le 10 novembre 2021
Synopsis : Québec, fin des années 60, Sylvette et Anglomard accueillent leur 14ème enfant : Aline. Dans la famille Dieu, la musique est reine et quand Aline grandit on lui découvre un don, elle a une voix en or. Lorsqu’il entend cette voix, le producteur de musique Guy-Claude n’a plus qu’une idée en tête… faire d’Aline la plus grande chanteuse au monde. Épaulée par sa famille et guidée par l’expérience puis l’amour naissant de Guy-Claude, ils vont ensemble écrire les pages d’un destin hors du commun.
Mon avis : J’avais raté le film en salle, car il me faisait très peur. C’est le genre de film à risque, qui passe ou qui casse. Et là c’est très bien passé, j’ai adoré ! Le film est un très bel hommage à Céline Dion, LA seule star interplanétaire francophone en vie. Le film mélange conte de fée et biopic musical, et étrangement ça passe très bien à l’écran. On se prend au jeu dans lequel nous emmène Valérie Lemercier, de retracer le parcours de Céline Dion à travers la vie d’Aline Dieu, comme une histoire parallèle. Le film a beaucoup d’humour, beaucoup de recul, ne cherche pas à se moquer ou à glorifier mais à retranscrire une admiration. C’était créatif, bien réalisé, et je ne me suis pas ennuyée une minute. Très sympa ! (Petit conseil : à regarder dans un salon insonorisé qui vous permettra de chanter à tue-tête !)

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→ Dune, de Denis Villeneuve – Avec Timothée Chalamet, Rebecca Ferguson, Oscar Isaac, Zendaya, Jason Momoa – Sortie le 15 septembre 2021
Synopsis : L’histoire de Paul Atreides, jeune homme aussi doué que brillant, voué à connaître un destin hors du commun qui le dépasse totalement. Car s’il veut préserver l’avenir de sa famille et de son peuple, il devra se rendre sur la planète la plus dangereuse de l’univers – la seule à même de fournir la ressource la plus précieuse au monde, capable de décupler la puissance de l’humanité. Tandis que des forces maléfiques se disputent le contrôle de cette planète, seuls ceux qui parviennent à dominer leur peur pourront survivre…
Mon avis : En voilà un film que je regrette amèrement de ne pas avoir vu en salle de cinéma ! Pourquoi je m’obstine encore à ne pas me ruer en salle pour profiter de la réalisation de Denis Villeneuve sur grand écran, c’est un mystère… Bref, je ne ferai pas l’erreur pour la suite car j’ai bien aimé Dune ! Bon, le film est lent, c’est indéniable. Mais ce n’est pas une lenteur qui m’a gêné, car elle permet de s’immerger dans cet univers SF si créatif, notamment grâce à un travail du son absolument incroyable, et à des effets spéciaux hallucinants. L’histoire est assez intrigante, et je suis curieuse de l’évolution du scénario; la construction du film nous en dévoile très peu mais suffisamment pour être efficace et nous tenir en haleine. A voir ce que cela donne par la suite, mais ce film d’introduction a rendu la suite attractive; mais surtout, la réalisation est fabuleuse !

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→ Hercule, des studios Disney – Sortie le 26 novembre 1997
Synopsis : Dans la Grèce antique, alors que la fête bat son plein et que les fées se penchent sur le berceau d’Hercule, fils de Zeus, Hadès, seigneur des enfers, ronge son frein. En consultant les Moires, il apprend que les planètes lui seront favorables dans dix-huit ans. Pour gouverner l’Olympe, il lui suffira de libérer les Titans, jadis emprisonnés par Zeus, après avoir élimine le seul dieu capable de le tenir en échec : Hercule.
Mon avis : Hercule est l’un des rares films Disney que je n’avais encore jamais vu, j’ai donc rattrapé ce manque impardonnable. Et bon, ce n’est pas mon Disney préféré. J’ai eu du mal avec le dessin, notamment le design d’Hercule qui est un peu étrange… Par contre, le design et le caractère d’Hadès sont exceptionnels ! J’ai bien aimé la manière dont ressortait l’univers des dieux antiques, notamment avec l’intervention gospel des muses qui apporte une vraie touche fun. J’ai également bien aimé la romance et le personnage de Megara, très indépendante et féministe comme j’aime, loin d’être candide comme le reste des personnages féminins Disney de manière générale. Après, côté scénario, aucune surprise, mais surtout aucune émotion, ce qui m’a étonnée car j’ai tendance à beaucoup pleurer devant l’étalage de bons sentiments Disney. Mouais…

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→ Dans un jardin qu’on dirait éternel, de Tatsushi Omori – Avec Haru Kuroki, Mikako Tabe, Kirin Kiki – Sortie le 26 août 2020
Synopsis : Noriko et Michiko viennent de terminer leurs études. En attendant de savoir à quoi consacrer leur vie, elles sont poussées par leurs parents vers l’art ancestral de la cérémonie du thé. Dans une petite maison traditionnelle de Yokohama, Noriko, d’abord réticente, se laisse peu à peu guider par les gestes de Madame Takeda, son exigeante professeure. Elle découvre à travers ce rituel la saveur de l’instant présent, et prend conscience du temps précieux qui s’écoule au rythme des saisons… Michiko, quant à elle, a décidé suivre un tout autre chemin.
Mon avis : Et bien voici le petit coup de cœur ciné du mois, totalement inattendu ! Il ne me serait pas venu à l’idée d’aller le voir en salle, mais il m’a appelé en rattrapage. Et j’ai adoré ! Ce film est une bulle de douceur et de sensibilité, et un très bel hommage à la culture japonaise à travers la tradition de la cérémonie du thé et de son exigence. Le film aborde beaucoup de thématiques, comme la place des femmes dans la culture japonaise, le clivage tradition/modernité, la difficulté de vivre de sa passion dans cette société très cloisonnée. Une petite pépite hors du temps, j’ai adoré !

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→ Le bal des 41, de David Pablos – Avec Alfonso Herrera, Emiliano Zurita, Fernando Becerril – Sortie Netflix le 12 mai 2021
Synopsis : Inspiré de faits réels. À la fin du XIXe siècle, Ignacio de la Torre épouse la fille du président du Mexique, Porfirio Díaz. Ignacio mène une double vie : il grimpe les échelons dans le monde traditionnel de la politique, tout en appartenant à une société clandestine. Il maintiendra cet équilibre délicat jusqu’à sa rencontre avec Evaristo, 42e membre de la société. Des secrets sont mis au jour et un scandale éclate lorsque la police débarque dans une de ses soirées, également connue sous le nom de « Bal des 41 ».
Mon avis : Enfin un film historique dans ces rattrapages, il était temps ! Je voulais voir ce film depuis longtemps, et je me suis enfin lancée cet été. Le film est assez intéressant dans son propos, à savoir dénoncer la société homophobe et traditionnaliste à travers un fait historique. Reste que le film est assez lent, et surtout que la fin est bien trop peu approfondie à mon goût. Le film se base sur l’avant Bal des 41, alors que l’après est tout aussi passionnant… La mise en scène reste assez intéressante, certains plans sont saisissants de beauté. Les décors et les costumes sont très beaux, et le casting à la hauteur. C’est un film intéressant, assez intense, mais qui reste assez plat.

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→ Emma l’entremetteuse, de Douglas McGrath – Avec Gwyneth Paltrow, Toni Collette, Jeremy Northam, Ewan McGregor – Sortie le 28 mai 1997
Synopsis : Une jeune et jolie fille qui s’ennuie dans une petite ville de l’Angleterre du XIXe siecle se met dans la tête de chercher un mari pour sa nouvelle amie.
Mon avis : Parce qu’il n’est jamais trop tard pour rattraper une adaptation d’une œuvre de Jane Austen, j’ai enfin vu Emma 25 ans après sa sortie au cinéma ! Et j’ai beaucoup aimé ! Je trouve que Gwyneth Paltrow apporte un certain charisme au personnage d’Emma, avec un petit côté piquant très agréable. La coiffure d’Ewan McGregor dans le film est si improbable qu’elle mérite le détour à elle seule ! Le film est très agréable, c’est une petite bluette sympathique, bien travaillée !

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→ Le Don du Roi, de Michael Hoffman – Avec Robert Downey Jr., David Thewlis, Sam Neill, Meg Ryan – Sortie le 11 juin 1997
Synopsis : En Angleterre, l’année 1660 voit la fin de l’austère dictature de Cromwell et le retour au pouvoir de la famille royale en la personne de Charles II, souverain spirituel, éclaire et libertin. C’est dans ce contexte que nous allons suivre les aventures de Robert Merivel, jeune médecin obscur, appelé à la cour pour soigner la chienne favorite du roi.
Mon avis : Je n’avais jamais entendu parler de ce film avant de le voir dans mes suggestions, et le résumé me tentant, j’y suis allée à l’aveugle. Et j’ai beaucoup aimé ! Le scénario du film est assez simple : splendeur et déchéance d’un brillant esprit, qui va se révéler dans le don de soi et la bonté. Classique, mais ici très efficace ! Le casting du film est fou, le scénario efficace et bien rythmé, et les décors et costumes très soignés. C’est une adaptation du roman du même nom de Rose Tremain, qui doit être assez dense vu le film. Vraiment sympa, un bon divertissement !

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→ Le sens de la famille, de Jean-Patrick Benes – Avec Alexandra Lamy, Franck Dubosc, Artus – Sortie le 30 juin 2021
Synopsis : Un matin, les Morel se réveillent avec un gros problème. Ils découvrent que l’esprit de chacun est coincé dans le corps d’un autre membre de la famille ! Chacha, 6 ans, est dans le corps de Papa, Papa dans le corps de son ado de fils, le fils dans le corps de la grande sœur, la grande sœur dans le corps de la mère, et la mère dans le corps de Chacha…. Vous n’avez pas suivi ? Eux non plus. Et ce n’est que le début.
Mon avis : S’il ne m’avait pas été recommandé par ma sœur, je n’aurais jamais regardé ce film. Trop peur de la comédie française lourdaude et potache comme je les déteste. Et cette comédie-ci n’est ni très intelligente ni très fine, mais qu’est-ce qu’elle m’a fait rire ! Je ne pensais pas rire autant en lançant le film, et je suis laissée prendre au jeu et j’ai passé un excellent moment ! Le scénario est totalement absurde, du coup le film est un joyeux mélange de cocasserie et de délire. Une belle tranche de rigolade !

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→ Vacances romaines, de William Wyler – Avec Audrey Hapburn, Gregory Peck – Sortie le 09 avril 1954
Synopsis : Princesse soumise à un étouffant protocole, Ann n’a pas une minute de liberté. En déplacement à Rome, elle fait la rencontre du journaliste Joe Bradley qui la reçoit chez lui sans connaître son statut. Sous le charme du jeune homme, Ann profite enfin d’un moment d’évasion avant que sa condition ne la rattrape.
Mon avis : Depuis le temps que je voulais voir ce classique, je me suis enfin lancée ! Et ce fut un pur moment de bonheur ! Le scénario du film est très simple, mais il est si charmant ! Voilà le mot qui décrit le mieux ce film : charmant. Audrey Hepburn est irrésistible, et le duo avec Gregory Peck fonctionne à merveille. Le film m’a fait voyager à Rome, vivre dans cette ville si belle et lumineuse. C’était doux, mignon, et oui aussi un peu niais, mais ça fait du bien ! Une très très jolie romantique, qui n’a pas du tout vieilli !

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→ The Dirt, de Jeff Tremaine – Avec Douglas Booth, Machine Gun Kelly, Daniel Webber, Iwan Rheon – Sortie le 22 mars 2019
Synopsis : Un biopic sur le groupe de rock Mötley Crüe, adapté du livre ‘The Dirt: Confessions of the World’s Most Notorious Rock Band’.
Mon avis : J’avais envie d’un peu de rock, et ai donc regardé The Dirt sur Netflix. Je ne connais pas du tout le groupe Mötley Crüe, à part de nom, mais ayant vu la série Pam & Tommy il y a peu, je savais à peu près à quoi m’attendre. Le film est un biopic efficace sur le groupe, aussi rock que les personnages qu’il traite ! Il ne cache rien : drogue, alcool, sexe, disputes, tout y passe. J’ai aimé cette franchise dans le propos : on a affaire à un vrai groupe de rock, on nous montre tout ce qu’il y a à montrer. C’était cool, ça ne me restera pas indéfiniment en tête, mais c’était très cool !

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→ Jeanne d’Arc, de Luc Besson – Avec Milla Jovovich, John Malkovitch, Faye Dunaway, Vincent Cassel, Dustin Hoffman, Desmond Harrington – Sortie le 27 octobre 1999
Synopsis : L’épopée de Jeanne qui assista, petite fille, au pillage de son village Domremy par l’armée anglaise. On la suit de sa jeunesse pieuse où des voix l’engagent à délivrer la France de la domination anglaise à sa victoire à Orléans, jusqu’à son procès final et sa mort sur le bûcher, le 30 mai 1431. Elle avait dix-neuf ans.
Mon avis : J’avais vu ce film en salle à 13 ans à sa sortie, et j’avais envie de le revoir pour me faire une opinion maintenant que mes connaissances historiques et mon esprit critiques se sont affutés. J’ai bien apprécié le film ; c’est rare de voir un film historique d’un réalisateur français audacieux, qui met les moyens dans les décors et les costumes. Après, le film n’est pas un biopic, mais fait questionner le spectateur sur la légende de Jeanne d’Arc, plutôt que sur sa vie. C’est un film sur une légende, non sur une femme, et de ce point de vue le film est efficace. J’ai bien aimé !

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→ Qui a peur de Virginia Woolf ?, de Mike Nichols – Avec Elizabeth Taylor, Richard Burton, Sandy Dennis, George Segal – Sortie le 15 février 1967
Synopsis : Martha et George invitent deux amis, Nick et Honey, à passer la soirée chez eux. À peine arrivés, ces derniers assistent à une scène de ménage mémorable de leurs hôtes. Ils finiront par se disputer également…
Mon avis : Et bien, quel film ! J’ai adoré ! Les deux acteurs Taylor et Burton, couple culte et sulfureux, se montre à l’écran ensemble, mais torturés, détestables et épuisés. Ils sont tout bonnement incroyables à l’écran, charismatiques et d’une énergie folle. Mais le film est très dérangeant, est nimbé d’une tension et d’une violence assez rare. Cette soirée entre amis se rencontre en huit-clos destructeur, jusqu’à une aube bienvenue et salvatrice. Un film terrible, mais que j’ai adoré ! Juste un poil long…

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→ Niagara, de Henry Hathaway – Avec Marilyn Monroe, Joseph Cotten, Jean Peters – Sortie le 11 août 1953
Synopsis : Ray et Polly Cutler sont en séjour à Niagara Falls. Ils font la connaissance de George et Rose Loomis, un couple au bord de la rupture. Rose annonce la disparition de son mari aux Cutler et a la désagréable surprise de reconnaître à la morgue le cadavre de son amant…
Mon avis : Tous les vieux films ne vieillissent pas bien… C’est le cas de Niagara, et malheureusement de beaucoup de films avec Marilyn Monroe à l’affiche. Je n’en peux plus de la voir jouer les potiches sexy mais idiotes à l’écran. C’est dommage, car le film est vraiment intéressant, avec un côté thriller plutôt intéressant, qui se sert du décor fabuleux des chutes du Niagara qui accentue cette atmosphère nimbée de mystère. Probablement sympa pour l’époque, mais plus aujourd’hui…