Novembre est un mois prometteur car synonyme de vacances ! Bon, je ne sais pas si ce sera l’occasion de lire beaucoup, mais je me suis concoctée pour l’occasion une petite pile à lire prometteuse !
→ Requiem, de François-Henri Soulié – 468 pages, éditions 10/18
J’avais adoré Magnificat, le précédent roman de l’auteur (cliquez ici pour lire ma chronique), et j’ai hâte de retrouver la plume et l’univers de cet auteur !
Résumé : Occitanie. 1210. Au bord d’une rivière, on découvre le corps d’une femme sauvagement assassinée. La victime : une des prostituées qui suivent l’armée en campagne. Bientôt, un autre cadavre émasculé est découvert : c’est un Croisé. Le Diable est-il l’instigateur de ces crimes ?
Tandis que les barons du Nord déchaînent leur foudre sur les villes du Sud, se peut-il que la folie de leur chef, Simon de Montfort, ait gagné le cœur de ses troupes ?
Face à lui, Raimon de Termes tente de résister et s’apprête à tenir le siège héroïque de sa citadelle.
Et dans cette tempête de haine et de violence, une mystérieuse femme accompagnée d’un cerf semble détenir les clés d’une harmonie que tous ont oubliée depuis bien longtemps. Mais peut-il exister, au cœur de l’Enfer, une place pour le Paradis ?
*
→ Déracinée, de Naomi Novik – 504 pages, éditions Pygmalion
Cela fait cinq ans que ce roman est dans ma pile à lire… Il est bien temps de le lire ! Cet univers de fantasy va me sortir de ma zone de confort, j’ai hâte de découvrir ce roman qui a fait l’unanimité dans la sphère littéraire !
Résumé : Patiente et intrépide, Agnieszka parvient toujours à glaner dans la forêt les baies les plus recherchées, mais chacun à Dvernik sait qu’il est impossible de rivaliser avec Kasia. Intelligente et pleine de grâce, son amie brille d’un éclat sans pareil. Malheureusement, la perfection peut servir de monnaie d’échange dans cette vallée menacée par la corruption. Car si les villageois demeurent dans la région, c’est uniquement grâce aux pouvoirs du « Dragon ». Jour après jour, ce sorcier protège la vallée des assauts du Bois, lieu sombre où rôdent créatures maléfiques et forces malfaisantes. En échange, tous les dix ans, le magicien choisit une jeune femme de dix-sept ans qui l’accompagne dans sa tour pour le servir. L’heure de la sélection approche et tout le monde s’est préparé au départ de la perle rare. Pourtant, quand le Dragon leur rend visite, rien ne se passe comme prévu…
*
→ Un cri sous la glace, de Camilla Grebe – 446 pages, éditions Calmann-Levy
Encore un roman que j’ai dans ma liseuse depuis 2017, mais que je n’avais pas eu le temps de le lire…! Ce sera mon premier Camilla Grebe, j’ai hâte de découvrir cette autrice !
Emma, jeune Suédoise, cache un secret : Jesper, le grand patron qui dirige l’empire dans lequel elle travaille, lui a demandé sa main. Il ne veut cependant pas qu’elle ébruite la nouvelle. Deux mois plus tard, Jesper disparait sans laisser de traces et l’on retrouve dans sa superbe maison le cadavre d’une femme, la tête tranchée, que personne ne parvient à identifier.
Peter, policier émérite, et Hanne, profileuse de talent, sont mis en tandem pour enquêter. Seul hic, ils ne se sont pas reparlés depuis leur rupture amoureuse dix ans plus tôt. Et Hanne a aussi un secret : elle vient d’apprendre que ses jours sont comptés.
S’ensuit un double récit étourdissant où chaque personnage s’avère cacher des zones d’ombres. À qui donc se fier pour résoudre l’enquête ?
*
→ Silo, tome 3 : Générations, de Hugh Howey – 475 pages, éditions Babel
Un petit roman post-apocalyptique, qui sera également une fin de saga ! Je sens que je vais avoir du mal à raccrocher les wagons avec les deux précédents tomes, dont la lecture commence à sérieusement dater… A voir !
Résumé : À la suite d’un soulèvement, les habitants du silo 18 sont face à une nouvelle donne. Certains embrassent le changement, d’autres appréhendent l’inconnu. Personne n’est maître de son destin. Le silo est toujours sous la menace de ceux qui veulent le détruire. Et Juliette sait qu’elle doit les arrêter. La bataille pour le silo a été gagnée. La guerre pour l’humanité ne fait que commencer.
*
→ Au service secret de Marie-Antoinette, tome 8 : Crime et chat qui ment, de Frédéric Lenormand – 400 pages, éditions La Martinière
Le petit plaisir du mois : le dernier tome en date de ma série chouchou Au service secret de Marie-Antoinette. Avec un chaton-tout-doux sur la couverture ! Hâte !
Résumé : À Versailles, les guerres de succession sont à la mode ! Quand un riche vieillard disparaît mystérieusement dans un incendie, ses héritiers jubilent. Pourtant, impossible de mettre la main sur son trésor ! Le seul à pouvoir les aider est un chat majestueux et hautain qui vivait avec la victime. Hors de question qu’il finisse entre de mauvaises mains ! Marie-Antoinette charge de sa protection sa modiste et son coiffeur – un duo d’enquêteurs amateurs, aux egos surdimensionnés, qui se chamaillent comme de vieux amants. Mais Rose et Léonard se retrouvent confrontés à une galerie de suspects hauts en couleur – sans parler du chat, qui a son petit caractère…
*
→ L’Assassin Royal, tome 13 : Adieux et retrouvailles, de Robin Hobb – 314 pages, Éditions Pygmalion
J’ai lu le tome 12 de la série en octobre 2019… trois ans plus tard, il est plus que temps que je me décide à terminer la série. Même si c’est très très dur de dire au revoir à cette série, cela fait trop longtemps que je repousse ma lecture !
Résumé : Sur l’île d’Aslevjal, les principaux protagonistes se retrouvent enfin face à leur destin. La mort moissonne, les énigmes se résolvent, les serments se dénouent. Une fois encore, Fitz affronte de terribles épreuves qui l’emportent au seuil de l’extrême douleur et du renoncement. Impuissant, il doit dire adieu à certains de ses plus vieux amis. Pourra-t-il au moins sauver le Fou, enfoui dans les cachots du palais de glace ? Laissant tous ses compagnons reprendre le bateau, il reste seul sur Aslevjal et finit par découvrir une grotte dont l’occupant n’est autre que le fameux Homme noir, qui se révèle bien différent de ce qu’on croyait.
*
→ Lestat le Vampire, d’Anne Rice – 606 pages, Éditions Presses Pocket
Depuis quelques temps j’essaie de rendre les romans qu’on m’a prêtés, et ça fait très longtemps que j’ai envie de lire la suite d’Entretien avec un vampire, lu il y a une dizaine d’années, que m’a prêté ma sœur. J’ai hâte de découvrir Lestat, et de voir si la plume d’Anne Rice me plaira davantage qu’à l’époque…
Résumé : Lestat le vampire s’est réveillé de sa léthargie. Le climat dionysiaque qui règne sur le monde l’a rappelé à la vie, exaltant sa soif de sang, de gloire et d’outrance. Vampire impie, Lestat est décidé à outrepasser toutes les limites.
Star du rock, gothique et sensuel, auteur d’une autobiographie scandaleuse, Lestat affiche et revendique sa nature vampirique. Il en joue, séduit et fascine.
Voici son histoire, voici comment Lestat, dandy impénitent, scandalisa jusqu’à ceux de son espèce…
*
→ Les choses humaines, de Karine Tuil – 352 pages, Éditions Folio
Depuis le temps que j’ai envie de lire ce roman, que j’ai acheté il y a plus d’un an et demi au moment de sa sortie poche, il est temps de me lancer !
Résumé : Les Farel forment un couple de pouvoir. Jean est un célèbre journaliste politique français ; son épouse Claire est connue pour ses engagements féministes. Ensemble, ils ont un fils, étudiant dans une prestigieuse université américaine. Tout semble leur réussir. Mais une accusation de viol va faire vaciller cette parfaite construction sociale. Le sexe et la tentation du saccage, le sexe et son impulsion sauvage sont au coeur de ce roman puissant dans lequel Karine Tuil interroge le monde contemporain, démonte la mécanique impitoyable de la machine judiciaire et nous confronte à nos propres peurs. Car qui est à l’abri de se retrouver un jour pris dans cet engrenage ?
*
→ C’était en mai, un samedi, de David Lelait-Helo – 183 pages, Éditions Pocket
J’ai entendu énormément de bien de ce court roman, d’où mon achat qui date d’il y a plus de 5 ans… Un roman court qui me promet de belles émotions !
Résumé : C’est un mois de mai comme tous les autres, entre les derniers froids et les premiers soleils. Comme tous les autres ? Sans doute pas. Pour Sophie, réfugiée dans sa maison de Sologne après la découverte de l’infidélité de son mari, c’est le premier d’une nouvelle ère. Car Sophie a décidé de vivre. Soudain, la sonnerie du téléphone retentit. » Bonjour… Je m’appelle Iolanda. Je vais mourir. » La voix est chaude, orientale ; le numéro, composé au hasard. Les deux femmes se confieront le temps d’une nuit qui sera sans doute la dernière pour l’une d’entre elles… une étoile… Dalida.
*
→ Le Guépard, de Giuseppe Tomasi di Lampedusa – 249 pages, Éditions Points
Je possède ce roman classique depuis quelques mois, et je ne pense qu’à sa lecture depuis : je pense que c’est le signe de le sortir, enfin… Je n’ai pas encore vu le film, mais j’ai bien envie d’enchainer roman et adaptation !
Résumé : En 1860, une aristocratie décadente et appauvrie, sourde aux bouleversements du monde, règne encore sur la Sicile. Mais le débarquement des troupes de Garibaldi amorce le renversement d’un ordre social séculaire. Conscient de la menace qui pèse sur les siens, le prince de Salina se résigne à accepter l’union de son neveu Tancrède avec la belle Angélique, fille d’un parvenu. Ultime concession qui signe la défaite du Guépard, le blason des Salina…
*
→ Le Tueur au miroir, de Fabio M. Mitchelli – 355 pages, Éditions Robert Laffont
Depuis quelques temps j’essaie de lire le anciens partenariats numériques que je possède depuis trop longtemps, et ce roman en fait partie : il va donc y passer !
Résumé : « Je n’ai fait que leur donner un instant de gloire. » Willy B. Richardson, alias William R. Bradford (1948-2008), le « Killer Photographer ».
Fasciné par leurs tatouages, il les appâte avec son appareil photo, fige leurs désirs de starlettes sur du papier glacé, puis les tue et s’empare de ce qu’il convoite. Le lendemain, on retrouve le corps de ces jeunes femmes sur les berges du Saint-Laurent, le pubis orné d’éclats de miroir et un morceau de peau découpé. Pour piéger celui qu’à Montréal on appelle déjà » le tueur au miroir « , il faut des flics borderline : Louise Beaulieu, qui se fiche des limites et des règles, et Carrie Callan, qui, sous son air bien sage, est un vrai pitbull. Des photographies à clé, un secret de famille, des messages cryptés… Le passé rattrape Louise. Désorientée, elle ment et triche. Et Carrie soupçonne l’impensable : des liens entre l’enquêtrice québécoise et Singleton, le redoutable tueur en série qu’elles ont traqué ensemble un an auparavant.
*
→ La mésange et l’ogresse, d’Harold Cobert – 432 pages, Éditions Points
Depuis le temps que ce roman est dans ma pile à lire, j’ai bien envie de le lire… mais je sens qu’il va être très très dur !
Résumé : « Ce que je vais vous raconter ne s’invente pas. »
22 juin 2004. Après un an d’interrogatoires, Monique Fourniret révèle une partie du parcours criminel de son mari, « l’Ogre des Ardennes ». Il sera condamné à la perpétuité. Celle que Michel Fourniret surnomme sa « mésange » reste un mystère : victime ou complice ? Instrument ou inspiratrice ? Mésange ou ogresse ?
Quoi de plus incompréhensible que le Mal quand il revêt des apparences humaines ?
En sondant les abysses psychiques de Monique Fourniret, en faisant résonner sa voix, jusqu’au tréfonds de la folie, dans un face à face tendu avec les enquêteurs qui la traquent, ce roman plonge au cœur du mal pour arriver, par la fiction et la littérature, au plus près de la glaçante vérité.
*
→ Les Ravagé(e)s, de Louise Mey – 426 pages, Éditions Fleuve (anciennement 12/21)
Depuis le temps que ce roman est dans ma pile à lire (3 ans, rien que ça !), je vais enfin pouvoir le sortir grâce à mes copines parisiennes ! Je sens que ce roman va me retourner le cœur, mais je suis trop tentée pour le laisser de côté plus longtemps !
Résumé : Des défilés de DRH adeptes du droit de cuissage à qui on accorde l’immunité, des freaks shows anatomiques récidivistes de 10 heures du matin, des beaux-pères tendancieux protégés comme devraient l’être les enfants, des larmes, des éclats de voix, des déclarations à digérer avec une citrate de bétaïne, des victimes suspectées d’être coupables et vice-versa… C’est la promenade de santé d’Alex. Alex est flic, mère célibataire et sobre, contrairement à ce qu’une analyse de ses déchets domestiques pourrait laisser croire. Elle officie aux crimes et délits sexuels d’un commissariat du nord de Paris. Épaulée par Marco, supervisée par le commissaire Blondeau, entourée d’une flopée de flics et de techniciens au teint bistre des mauvais cafés avalés à la chaîne et des lendemains de cuite, et bientôt filmée par un jeune loup soi-disant documentariste, on pourrait la croire blasée. Mais dans le flot régulier des plaintes pour harcèlement, viol et autres attentats à la pudeur, deux cas récents ont joué à créer des remous. Deux agressions et un refus net de porter plainte. Question d’honneur. À partir de là, difficile d’avancer sans encombre. Mais le caractère extraordinaire de l’événement mérite qu’on s’y penche. Peu importe le temps que ça prendra. Peu importent les moyens minables mis en œuvre, les systèmes de pensée déficients, les mauvaises habitudes.
Belles découvertes à toi parmi cette alléchante PAL !
J’aimeAimé par 1 personne
J’ai beaucoup aimé Déracinée 🙂
Bonnes lectures !
J’aimeAimé par 1 personne
C’est un sacré programme de lectures! Bonnes découvertes!
J’aimeAimé par 1 personne
Merci beaucoup !
J’aimeJ’aime
Toujours beaucoup d’envies variées !
J’ai trouvé Déracinée assez sympa et surtout *kyaaa* Robin Hobb ❤️
Beau mois de novembre à toi 👻
J’aimeAimé par 1 personne