Cavale ça veut dire s’échapper, de Cali

Il y a quelques semaines, j’ai eu la chance d’être sélectionnée par Babelio pour rencontrer Cali lors d’une soirée autour de son nouveau roman, Cavale ça veut dire s’échapper. Une « suite » à son précédent roman Seuls les enfants savent aimer (cliquez ici pour lire ma chronique), qui me tentait énormément. Je me suis donc plongée à nouveau avec délectation dans l’adolescence et dans l’univers de cet artiste.

L’histoire

« On ne comprenait pas tout, mais à nos âges tout explosait autour et on ne demandait qu’une chose, exploser avec. » Un instant, j’ai voulu vous suivre, vous voir, respirer ce que j’aurais dû respirer. Mais je suis resté sur la pente. Et j’ai pleuré, pas fort non, mais ruisselant à l’intérieur. J’entendais des gouttes tomber de très haut, une à une, au fond de mes entrailles déchiquetées. Mon ventre pleurait et mon cœur hurlait, comme quand un cœur hurle à la fin du tout. Est-ce qu’on meurt d’amour ?Lire la suite »

Seuls les enfants savent aimer, de Cali

Il y a quelques années, j’étais une fan absolue de Cali, notamment de son premier album L’amour parfait, que j’écoute d’ailleurs assez régulièrement. Je l’ai vu plusieurs fois en concert, et je continue de le suivre de loin. Quand j’ai vu qu’il avait sorti son premier roman, inspiré de la perte de sa mère alors qu’il était tout petit, je me suis bien évidemment jeté dessus sur NetGalley, et l’ai reçu en cadeau de la part de ma grande-soeur en même temps !

L’histoire

Seuls les enfants savent aimer.
Seuls les enfants aperçoivent l’amour au loin, qui arrive de toute sa lenteur, de toute sa douceur, pour venir nous consumer.
Seuls les enfants embrassent le désespoir vertigineux de la solitude quand l’amour s’en va.
Seuls les enfants meurent d’amour.
Seuls les enfants jouent leur coeur à chaque instant, à chaque souffle.
À chaque seconde le coeur d’un enfant explose.
Tu me manques à crever, maman.
Jusqu’à quand vas-tu mourir ?Lire la suite »