Il y a quelques semaines, j’ai eu la chance d’être sélectionnée par Babelio pour rencontrer Cali lors d’une soirée autour de son nouveau roman, Cavale ça veut dire s’échapper. Une « suite » à son précédent roman Seuls les enfants savent aimer (cliquez ici pour lire ma chronique), qui me tentait énormément. Je me suis donc plongée à nouveau avec délectation dans l’adolescence et dans l’univers de cet artiste.
L’histoire
« On ne comprenait pas tout, mais à nos âges tout explosait autour et on ne demandait qu’une chose, exploser avec. » Un instant, j’ai voulu vous suivre, vous voir, respirer ce que j’aurais dû respirer. Mais je suis resté sur la pente. Et j’ai pleuré, pas fort non, mais ruisselant à l’intérieur. J’entendais des gouttes tomber de très haut, une à une, au fond de mes entrailles déchiquetées. Mon ventre pleurait et mon cœur hurlait, comme quand un cœur hurle à la fin du tout. Est-ce qu’on meurt d’amour ?Lire la suite »