Ma pile à lire du mois d’août 2022

Qui dit mois d’août dit départ de la rentrée littéraire ! Quelques titres me font de l’oeil cette année, et j’ai prévu d’en lire ce mois-ci, ainsi que quelques autres romans de ma pile à lire : voici le prévisionnel du mois !

Les Piliers de la Terre, de Ken Follett – 1050 pages, Éditions Le Livre de Poche
En tant qu’amatrice de romans historiques, il serait peut-être temps de me lancer dans l’un des must reag du genre, non ? J’avoue, j’ai toujours eu peur de me lancer dans un roman de Ken Follett, il y a tellement de pages… Mais je sens que c’est fait pour moi, alors je tente !
Résumé : Dans l’Angleterre du XIIe siècle ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent pour s’assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l’amour, ou simplement de quoi survivre. Les batailles sont féroces, les hasards prodigieux, la nature cruelle. Les fresques se peignent à coups d’épée, les destins se taillent à coups de hache et les cathédrales se bâtissent à coups de miracles… et de saintes ruses. La haine règne, mais l’amour aussi, malmené constamment, blessé parfois, mais vainqueur enfin quand un Dieu, à la vérité souvent trop distrait, consent à se laisser toucher par la foi des hommes.

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Rêver, de Franck Thilliez – 600 pages, Éditions Fleuve
Je n’étais pas attirée par ce roman à la base, mais les copines dissidentes m’ont motivée pour le lire en lecture commune, alors go la médiathèque et allons-y pour la lecture !
Résumé : Si ce n’étaient ses cicatrices et les photos étranges qui tapissent les murs de son bureau, on pourrait dire d’Abigaël qu’elle est une femme comme les autres. Si ce n’étaient ces moments où elle chute au pays des rêves, on pourrait jurer qu’Abigaël dit vrai.
Abigaël a beau être cette psychologue qu’on s’arrache sur les affaires criminelles difficiles, sa maladie survient toujours comme une invitée non désirée. Une narcolepsie sévère qui la coupe du monde plusieurs fois par jour et l’emmène dans une dimension où le rêve empiète sur la réalité. Pour les distinguer l’un de l’autre, elle n’a pas trouvé mieux que la douleur.
Comment Abigaël est-elle sortie indemne de l’accident qui lui a ravi son père et sa fille ? Par quel miracle a-t-on pu la retrouver à côté de la voiture, véritable confetti de tôle, le visage à peine touché par quelques bris de verre ? Quel secret cachait son père qui tenait tant, ce matin de décembre, à s’exiler pour deux jours en famille ? Elle qui suait sang et eau sur une affaire de disparitions depuis quelques mois va devoir mener l’enquête la plus cruciale de sa vie. Dans cette enquête, il y a une proie et un prédateur : elle-même.

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La Princesse d’Aragon, de Philippa Gregory – 608 pages, Éditions Hauteville
Ma copine Alix et moi continuons notre lecture commune des romans biographiques de Philippa Gregory, dont chaque tome est un régal !
Résumé : « Je suis Catalina, princesse d’Espagne, fille des deux plus grands monarques que cette terre ait portés : Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon. Je suis leur plus jeune fille, la princesse de Galles, et je deviendrai reine d’Angleterre. »
D’abord épouse du frère aîné de Henri VIII, l’infante d’Espagne a su transformer un mariage d’intérêt en passion amoureuse ; mais à la mort de l’héritier du trône, l’impitoyable Cour d’Angleterre et les ambitieux parents de la jeune femme doivent trouver un nouveau rôle pour la jeune veuve. Catherine décide alors de prendre sa vie en main prête à tout pour pouvoir accomplir son destin. Dotée d’une détermination hors du commun, la princesse d’Aragon survit à la trahison, à la pauvreté et au désespoir avant de devenir l’épouse de Henri VIII, et de commander avec lui les forces anglaises dans leur plus grande victoire contre l’Écosse.

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Mexican Gothic, de Silvia Moreno-Garcia – 352 pages, Éditions Bragelonne
J’ai craqué sur ce roman l’année dernière lors d’une opération promotionnelle numérique, et je profite d’une lecture commune pour le club de lecture de Leahbookaddict pour le découvrir !
Résumé : Après avoir reçu un mystérieux appel à l’aide de sa cousine récemment mariée, Noemí Taboada se rend à High Place, un manoir isolé dans la campagne mexicaine. Elle ignore ce qu’elle va y trouver, ne connaissant ni la région ni le compagnon de sa cousine, un séduisant Anglais. Avec ses robes chic et son rouge à lèvres, Noemí semble plus à sa place aux soirées mondaines de Mexico que dans une enquête de détective amateur. Elle n’a pourtant peur ni de l’époux de sa cousine, un homme à la fois troublant et hostile, ni du patriarche de la famille, fasciné par son invitée… ni du manoir lui-même, qui projette dans les rêves de Noemí des visions de meurtre et de sang. Car High Place cache bien des secrets entre ses murs. Autrefois, la fortune colossale de la famille la préservait des regards indiscrets. Aujourd’hui, Noemí découvre peu à peu d’effrayantes histoires de violence et de folie.

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Inoubliable Grace de Monaco, de Jean des Cars – 240 pages, Éditions du Rocher
Comment résister à cette réédition de la biographie de Grace de Monaco, par Jean des Cars ?!
Résumé : Elle disait : « Il y a des êtres qui ne s’éteignent jamais. » La formule pourrait s’appliquer à elle-même : le rayonnement de Grace de Monaco (1929-1982) ne disparaîtra jamais, car son souvenir est resté gravé dans nos coeurs.Authentique star en quelques films, vedette couronnée par un Oscar, actrice fétiche d’Alfred Hitchcock, qui sut mettre en valeur sa distinction, sa classe et sa beauté, Grace Kelly rencontra le prince Rainier au festival de Cannes en 1955. En secret, puis aux yeux du monde, la romance est devenue un vrai roman d’amour.Fidèle à ses amis et anciens partenaires, Grace de Monaco est une femme gaie, directe et généreuse. Son action sociale est la première à être aussi efficace, sérieuse et suivie, ouvrant la voie à l’humanitaire sans gadget ni bluff . C’est aussi une femme pleine d’humour, qui fait face à l’adversité.Jean des Cars signe ici la biographie, enlevée et forte, d’une grande dame, que l’écrivain Anthony Burgess comparait à une déesse et dont Cary Grant répétait : « Elle nous manque. »

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L’air était tout en feu, de Camille Pascal – 352 pages, Éditions Robert Laffont
Mais oui, c’est bien le nouveau roman de Camille Pascal, l’auteur dont je lis tous les romans historiques. Quelle joie d’avoir pu recevoir ce livre !
Résumé : 27 avril 1718. Un incendie ravage le Petit-Pont, menaçant Notre-Dame. Alors qu’à Paris l’air est tout en feu, au château de Sceaux, la duchesse du Maine souffle sur un autre brasier bien plus dangereux pour le Régent, celui du complot. Mariée à l’aîné des bâtards de Louis XIV, haute comme trois pommes mais animée de l’orgueil d’une princesse du sang, cette précieuse règne sur sa petite cour de beaux esprits comme sur son mari. Soutenue en secret par le prince de Cellamare, ambassadeur du roi d’Espagne, et encouragée par les survivants de la vieille cour du Roi-Soleil, elle va intriguer avec passion. Ainsi, en ce printemps 1718, un vent de fronde se lève sur la France et une véritable course-poursuite pour le pouvoir s’engage entre la duchesse d’un côté et le Régent de l’autre.

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Ce que nous désirons le plus, de Caroline Laurent – 208 pages, Éditions Les Escales
J’avais adoré Et soudain la liberté il y a quelques années, et je ne peux pas résister à ce nouvel ouvrage de cette talentueuse autrice après la sortie de La Familia Grande, qui remet en cause sa précédente oeuvre… J’ai peur, mais j’y vais !
Résumé : Un jour une amie meurt, et en mourant au monde elle me fait naître à moi-même. Ce qui nous unit : un livre. Son dernier roman, mon premier roman, enlacés dans un seul volume. Une si belle histoire.
Cinq ans plus tard, le sol se dérobe sous mes pieds à la lecture d’un autre livre, qui brise le silence d’une famille incestueuse. Mon cœur se fige ; je ne respire plus. Ces êtres que j’aimais, et qui m’aimaient, n’étaient donc pas ceux que je croyais ?
Je n’étais pas la victime de ce drame. Pourtant une douleur inconnue creusait un trou en moi.
Pendant un an, j’ai lutté contre le chagrin et la folie. Je pensais avoir tout perdu : ma joie, mes repères, ma confiance, mon désir. Écrire était impossible. C’était oublier les consolations profondes. La beauté du monde. Le corps en mouvement. L’élan des femmes qui écrivent : Deborah Levy, Annie Ernaux, Joan Didion… Alors s’accrocher vaille que vaille. Un matin, l’écriture reviendra.

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Canicule, de Jane Harper – 400 pages, Éditions Kero
J’avais reçu ce livre en… 2017 ! Et là, je le trouve parfaitement de saison, et j’ai envie de le lire. Comment ça il est temps que je le lise ?
Résumé : Kiewarra. Petite communauté rurale du sud-est de l’Australie. Écrasée par le soleil, terrassée par une sécheresse sans précédent. Sa poussière. Son bétail émacié. Ses fermiers désespérés. Désespérés au point de tuer femme et enfant, et de retourner l’arme contre soi-même ? C’est ce qui est arrivé à Luke Hadler, et Aaron Falk, son ami d’enfance, n’a aucune raison d’en douter. S’il n’y avait pas ces quelques mots arrivés par la poste : Luke a menti. Tu as menti. Sois présent aux funérailles…
Revenir à Kiewarra est la dernière chose dont Aaron a envie. Trop vives sont encore les blessures de son départ précipité des années auparavant. Trop dangereux le secret qu’il a gardé pendant tout ce temps. Mais Aaron a une dette, et quelqu’un a décidé que le moment est venu de la payer…

13 réflexions sur “Ma pile à lire du mois d’août 2022

  1. Ca fait des lustres que je veux lire Ken Follett moi aussi mais ce n’est pas le nombre de pages qui me rebute : c’est la (trop) grande notoriété ! J’ai peur d’être déçue. En tout cas, j’espère que tu aimeras et je te souhaite un excellent mois d’août =)

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