Ma pile à lire du mois d’Avril 2021

Début d’année : « Je ne ferai plus de pile à lire, blabla ».
Trois mois plus tard : « Je refais des piles à lire parce qu’au final c’est la façon dont j’aime lire ».
Vous pouvez le dire, je suis étrange…! Toujours est-il que je sais déjà ce que je souhaite lire ce mois-ci, donc autant présenter les titres ici, non ?!

→ La cité de larmes, de Kate Mosse – 672 pages, Éditions Sonatine

Je suis en pleine lecture de La cité de feu, et je compte bien me plonger dans la suite ce mois-ci, que j’ai reçue via NetGalley !

1572. Depuis dix ans, les guerres de Religion ravagent la France. Aujourd’hui, enfin, un fragile espoir de paix renaît : Catherine de Médicis a manoeuvré dans l’ombre et le royaume s’apprête à célébrer le mariage de la future reine Margot et d’Henri, le roi protestant de Navarre.
Minou Joubert et son époux Piet quittent le Languedoc pour assister à la cérémonie. Alors que la tension est déjà à son comble dans les rues de Paris, on attente à la vie de l’amiral de Coligny. C’est le début du massacre de la Saint-Barthélemy. Précipités dans les chaos de l’Histoire, Minou et Piet sont sur le point de prendre la fuite quand ils découvrent la disparition de Marta, leur fillette de sept ans…

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→ La Maison des égarées, de Julie Kibler – 512 pages, Éditions Belfond

J’ai reçu ce roman de la part de Belfond via NetGalley, et j’en suis ravie. La couverture m’a immédiatement attirée, et j’avais bien apprécié le précédent roman de Julie Kibler, Les couleurs de l’espoir (cliquez ici pour lire mon avis), donc je tente celui-ci !

Dans la petite ville de Berachah, au Texas, il est un refuge pour toutes celles dont la société ne veut plus, les filles mères, les épouses abandonnées, les prostituées, les droguées. Un abri où ces femmes brisées peuvent tenter de se reconstruire.
C’est là que se rencontrent Lizzie Bates et Mattie Corder, en 1904. Entre les deux mères en perdition va se tisser un lien unique, comme un pont capable de les conduire ensemble vers un avenir meilleur.
Un siècle plus tard, Berachah se résume à quelques pierres tombales moussues. Fascinée par l’histoire de ce lieu et de ses pensionnaires, Cate Sutton, une jeune bibliothécaire, entreprend d’extraire du néant les vies de ces  » égarées « . À travers les destins de Lizzie, Mattie et leurs compagnes, c’est une leçon d’espoir, de courage et de solidarité peu commune que l’Histoire s’apprête à offrir à Cate. Et dont les résonances inattendues pourraient éclairer son propre passé…

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→ Le secret de la reine soldat, de Lorraine Kaltenbach – 304 pages, Éditions du Rocher

En ce moment, je suis dans un mood historique à fond (je suis clairement en manque de musées et de châteaux) ! Et je me suis mise à écouter l’émission de Stéphane Bern Historiquement vôtre sur Europe 1 tous les jours. Et l’autrice est venue présenter ce livre et parler de Marie-Sophie de Bavière dans l’émission : je l’ai acheté à la fin de son intervention !

Elle fut la Jeanne d’Arc du XIXe siècle, la femme à abattre, l’égérie des écrivains. Dans La Recherche, Marcel Proust qui l’idolâtrait la baptisera la « reine soldat ». Luchino Visconti rêvait de la porter à l’écran sous les traits de Greta Garbo. Reine déchue du royaume de Naples et des Deux-Siciles, Marie-Sophie en Bavière s’est toujours dérobée aux historiens qui n’ont pressenti son secret qu’à demi. Ce secret, Lorraine Kaltenbach le connaît, sa famille le garde depuis cent cinquante ans.Marie-Sophie était la plus romanesque des soeurs de Sissi. Aussi rebelle que l’illustre impératrice, elle fut autrement plus vivante et charnelle. À vingt ans, elle bluffa l’Europe en abandonnant ses crinolines pour traverser en pantalon la révolution italienne du Risorgimento. À trente ans, elle devint une figure du Paris de la Belle Époque. Que cachait son attirance pour la Ville Lumière ? La nostalgie de sa passion secrète pour un zouave pontifical français, mais surtout Daisy, leur enfant, dont elle ne put jamais faire l’aveu public : le pape, l’empereur François-Joseph, les rois de Bavière, de Naples et des Deux-Siciles auraient eu trop à perdre si ce scandale avait été divulgué. La reine soldat imposera son droit de renouer avec la fille qu’on lui avait arrachée, et s’alliera avec les anarchistes pour châtier ceux qui l’avaient outragée et chassée de son trône.

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→ La lumière était si parfaite, de Carène Ponte – 288 pages, Éditions Fleuve

Un roman de Carène Ponte est toujours un bon moment de lecture, plus ou moins léger en fonction du thème. Et là, avec les beaux jours qui s’installent, sa réception de la part de la maison d’édition est arrivée à point nommé ! J’ai très hâte de m’y plonger !

Comment sa vie a-t-elle pu lui échapper à ce point ? Devenue mère au foyer à la naissance de ses enfants, Megg fait face aujourd’hui à une ado en crise qu’elle ne reconnaît plus. Son mari ne se préoccupe guère des tâches quotidiennes. Et puis il y a eu le coup de grâce, cette saleté d’infarctus qui a fauché sa mère avant l’heure. Tandis qu’elle se résout à vider la maison de son enfance, Megg déniche une pellicule photo qui l’intrigue, et décide de la faire développer. Rien ne pouvait la préparer à la série de clichés qu’elle découvre alors… Une révélation qui bouleversera sa vie. Partie sur les traces d’un passé maternel dont elle ignore tout, Megg ne se doute pas que c’est son avenir qu’elle est en train de reprendre en main.

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→ Les Francs Royaumes, tome 2 : La fureur de Frédégonde, d’Eric Fouassier – 504 pages, Éditions du Masque

J’ai mes périodes historiques favorites, mais je commence à m’intéresser au Moyen Âge. J’ai donc lu le premier tome de cette série, que j’ai énormément apprécié ! Donc quand j’ai vu ce roman lors de la Masse Critique Babelio, j’ai foncé. Non mais lisez-moi ce résumé : ça n’a pas l’air incroyable ?!

Automne 575. Depuis le décès de Clovis, les royaumes francs ont plongé dans l’instabilité, divisés entre trois héritiers qui s’affrontent pour monter sur le trône. Lorsque le souverain d’Austrasie est assassiné, sa veuve Brunehilde se retrouve prisonnière en territoire ennemi, séparée de ses enfants. Elle devra user de tous les stratagèmes pour survivre à la fureur de sa rivale Frédégonde, qui ne recule devant rien pour asseoir son pouvoir et éliminer ceux qui se dressent sur son chemin.
C’est dans ce contexte tendu que le jeune galloromain Arsenius Pontius est appelé à Tours par son parrain, l’évêque Grégoire, pour élucider des événements mystérieux avec l’aide de sa compagne Wintrude . Mais bientôt, les tumultes politiques rattrapent Arsenius et Wintrude, et pourraient bien les séparer à jamais.

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→ Un jour de plus de ton absence, de Mélusine Huguet – 368 pages, Éditions Charleston

Impossible pour moi de passer à côté du premier roman de mon chou à la crème caramel beurre salé Mélusine, alias Méluchou, alias Carnet Parisien. Non seulement je suis admirative de sa personne, de son travail, mais j’ai tellement entendu d’avis dithyrambiques sur ce livre que je ne peux plus attendre et que je le lirai très rapidement !

Fonder une famille avec Antoine, c’est le rêve de Jade depuis le tout premier jour de leur amour. Elle devrait nager en plein conte de fées : Antoine est fou de joie, ils ont la trentaine, des situations professionnelles stables, un appartement avec une chambre supplémentaire et des familles aimantes, toutes prêtes à accueillir cette nouvelle vie. Une seule ombre plane sur ce tableau idyllique : celle du mensonge qui dévore progressivement Jade…

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→ Au service secret de Marie-Antoinette, tome 5 : La Reine se confine !, de Frédéric Lenormand – 336 pages, Éditions La Martinière

Ooooouuuuhhhh moi qui suis en manque cruel de Versailles, un nouveau de ma série de comédie policière historique chouchou est une bénédiction ! Trop trop hâte de le lire, je sais que je passerai un bon moment de lecture avec ce livre, et que j’apprendrai plein de nouvelles insultes oubliées (à ressortir en cas de dispute, ça ferme le clapet !) !

Ciel ! La reine Marie-Antoinette a attrapé la rougeole. Confinement obligatoire pour sa Majesté ! Pourtant, plus que jamais, elle doit veiller aux intérêts du royaume. De l’intervention de son duo de détectives improvisés, Rose et Léonard, dépend le sort de la guerre d’indépendance américaine. Rien de moins ! Yes, she can !

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